La crise est un signe qui nous indique que nous faisons fausse route. Certains outils que nous utilisons doivent changer ou disparaître. Car ils ne répondent pas ou plus aux besoins humains et aux défis actuels.

La crise est financière, alimentaire, économique, sociale, de sens et donc globale.
Nous devons faire un virage à 180° et changer d’utopie.
Pour que :
La solidarité et la convivialité remplacent la compétitivité.
La société « de marché » cède la place à une société « avec le marché »
L’être humain soit la « finalité » du marché et non une « ressource » pour le marché.
Les guerres destructrices cèdent enfin la place à la Paix constructrice.

Car le terrorisme est la réponse désespérée aux abus de pouvoirs bénéficiaires de l’impunité.

Sous peine de disparaître à brève échéance
l’humanité doit muter et se libérer d’urgence.
Se libérer :
– de cet argent rare et cher (aux profits d’intérêts privés)
– de ces peurs qui nous tenaillent
– de ces croyances qui nous limitent
– de ces sciences qui nous aveuglent
– de ces dogmes qui nous radicalisent
– de cette économie qui nous ruine
– de cette alimentation qui nous dévitalise
– de cette médecine qui nous tue
– de cette politique qui nous trahit
– de ces dieux qui poussent aux crimes
– de tous ces prédateurs qui détruisent le VIVANT

Quelques pistes proposées par le « Convivialisme »

La politique est l’art de vivre ensemble et de rendre possible ce qui est nécessaire.
Pour le plus grand bien du plus grand nombre dans le respect et la pérennité de la Terre.
Le pouvoir politique doit devenir un privilège de sage en fin de carrière réussie.
Les programmes politiques seront basés sur les déclarations universelles des droits humains.
Nos indicateurs de richesse (PIB) doivent évoluer et intégrer nos valeurs essentielles.
L’éducation devrait nous affranchir de nos peurs de l’autre, du manque et de l’inconnu.
La spéculation sur les biens communs et de premières nécessités sont interdites et pénalisées.
Une monnaie virtuelle suffisante et gratuite sera produite par les Etats ou groupes d’Etats.
A hauteur des besoins collectifs et privés, correspondant à la valeur des richesses produites.
Un revenu de base inconditionnel sera octroyé à Toutes et Tous du Berceau à la Tombe.
Le politique aurait des frais et avantages de fonction mais un revenu de base uniquement.
La Dîme doit être réinstaurée à tous les niveaux : citoyens, institutions et Etats.
L’état prélève à l’émission de la monnaie son budget et établit une économie « distributive ».
Afin que le citoyen puisse participer à la création et à la distribution des richesses produites
Le contribuable devient donc aussi un attributaire dans une réelle démocratie participative.
Une langue administrative universelle de référence comme l’Espéranto sera instaurée.

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